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L’inventaire mobile et desktop de Pandora arrive en programmatique

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Pandora_likesUne webradio personnalisée, faite sur mesure suivant les souhaits de l’internaute abonné est un outil précieux de connaissance client pour les marques. Une webradio dans la voiture, où l’on dépense la moitié du temps à écouter la radio, c’est encore mieux et c’est ce que fait Pandora en s’y intégrant en plus des appareils mobiles classiques. Le service fonctionne aux Etats-Unis, en Australie et en Nouvelle Zélande avec 76,5 millions d’utilisateurs actifs. Et l’arrivée d’un vétéran de l’ad tech à la tête des relations avec les agences en janvier Alan Schanzer (ex-Undertone), indique que Pandora cherche à booster son carnet de commandes d’annonceurs.

Comme quasiment toutes les autres radios en streaming, Pandora monétise son audience pour les abonnés choisissant la formule non-payante. Et avec le développement des objets connectés et mobiles la expectative d’Alan Schanzer – et il n’est pas le seul – est d’une plus importante demande des annonceurs pour la pub radio. Pub Pandora« L’audio est un média très puissant pour connecter les marketeurs avec les consommateurs, car ceux-ci sont constamment en mouvement et non pas en train de regarder un écran tout le temps », dit-il à adexchanger. Pour la pub radio, Pandora est connectée aux plateformes MediaOcean et Strata. Elle travaille aussi avec Triton Digital. La pub vidéo et display est exploitée sur leur application et sur leur site.

Ses richesses, les données et l’expérience utilisateur

L’intérêt est évidemment celui de connaître les goûts musicaux des auditeurs d’où l’on peut découler des profils, des styles. Le contenu audio est par excellence très personnel. « Il existe des milliers de stations à Pandora qui représentent de multiples différents types d’utilisateurs. Les annonceurs doivent penser à leurs messages de façon à ce qu’elles ne viennent pas interrompre mais s’ajouter à l’expérience de l’utilisateur. »

Les données sont une base solide et riche qui pourrait permettre à Pandora d’’explorer les ad exchanges et c’est ce qu’ils projettent de faire pour le display et sur le desktop pour le moment. Pour l’inventaire audio, la question se pose notamment sur la création et sur le comment la rendre adaptable à l’échelle mais de manière personnalisée, explique Alan Schanzer. Il ne semble pas encore avoir de réponse à ce question.

Lire ici l’entretien d’Alan Schanzer à adexchanger.

LUL

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