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Les tactiques pour survivre dans la jungle de la donnée mobile

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Si le mobile attire de plus en plus les dollars des annonceurs, l’éditeur ou développeur d’application n’est pas du tout sûr d’avoir sa part du gâteau et un certain nombre de tactiques lui seront essentielles pour survivre dans la jungle mobile. Car seuls ceux qui disposent d’échelle et de données qualitatives en quantité peuvent attirer les annonceurs. Et l’échelle à ce jour est entre les mains des grands comme Facebook, Apple et Google.

N’oublions pas que les utilisateurs, même s’ils disposent d’une quantité considérable d’applications dans leur appareil, ne s’en servent que d’une poignée, pour interagir dans leurs réseaux sociaux, pour faire leurs courses, pour se déplacer, envoyer des messages…

Taptica_2« Une partie essentielle des stratégies de marketing et retargeting sur les applications est la capacité à répondre aux signaux envoyés par les utilisateurs lors de l’usage qu’ils font des applications. Evidemment, plus une application a d’utilisateurs, plus elle peut récupérer des données. Avec le marché des applications aussi encombré, combien [d’éditeurs d’applications] peuvent véritablement monétiser leurs données ? », s’interroge Galia Reichenstein, responsable de ventes et directrice des opérations à Taptica, une plateforme d’acquisition sur mobile, spécialisée dans l’analyse du comportement in-app.

Puisque la capacité à capter les données est la clé du succès pour tout éditeur, la première chose à faire est cultiver une bonne relation avec les grands de ce monde, à savoir Facebook, Google et cie, défend-elle, pour « garantir son accès à leurs riches courants de données 1st party ». « Cela veut dire utiliser leurs données pour définir des stratégies de retargeting d’applications, pour toucher des utilisateurs d’applications au bon endroit et au bon moment afin de leur offrir le bon message qui fera en sorte qu’ils continuent de revenir vers l’application » et ainsi d’alimenter sa propre base 1st party, où tout peut alors commencer.

Lire ici le billet complet de Galia Reichenstein publié sur adexchanger.

LUL

(Images : taptica.com.)

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